Qui sommes nous ?

ADAC

Agence pour le Développement de l’Afrique Centrale et de l’Afrique francophone 

L’ADAC est une organisation associative  loi 1901, sans aucun lien de subordination avec un groupe privé ou publique, ni avec aucun pays.

 

La direction de l’ADAC est composée de Camerounais, de Congolais de RC et de RDC,  d’Ivoiriens, de Sénégalais, DE TCHADIENS et de Français.

C’est une « fédération de compétences et de partenaires » mise au service des pays avec lesquels l’ADAC travaille.

Intelligence économique, commerce, industrie, financements internationaux et micro économie, BTP, Aménagement du territoire, énergie, environnement, santé, développement durable, développement agricoles, etc…

L’ADAC privilégie « l’humain » et les populations concernées qui sont au centre de tous les projets et de toutes les actions.

Ses objectifs :

Participer au développement économique et social des pays dans lesquels elle s’implique.
Privilégier la présence sur secteur et le montage de partenariats gagnant/gagnant avec tous les acteurs économiques, sociaux et politiques désirant contribuer au « développement durable » des pays concernés, sans aucune  exclusive.

 

L’ADAC fédère les compétences et organise les actions :

ETUDE, ORGANISATION, PROGRAMMATION, ACTION.

 

Alors pourquoi  une association ou ONG de plus ?

Constatation :

Le Continent africain et l’Afrique francophone pour ce qui concerne la France, fait partie des sociétés en pleine évolution économique, technique, politique et social.

L’Afrique est un continent où la jeunesse et les compétences montent en puissance dans le concert de la mondialisation.

Pour de multiples raisons, la présence de la  France a « décroché » de l’Afrique, sans raisons évidentes si ce n’est la peur, la méconnaissance, la désinformation, le manque de volonté et de synergie entre les divers acteurs institutionnels français, sensés s’occuper de ce thème.

 

 Plaquette ADAC au format PDF


 

Rapport moral du Président de l’ADAC 2019-2020

Je trouvais que le rapport moral de l’année dernière avait été difficile à synthétiser, que devrais-je dire cette année ? Si nous pouvons appeler ça une année … la Pandémie a posé son empreinte sur tout, il s’agit certainement d’une des plus grande remise en question de notre société et de nos pratiques quotidiennes dans tous les secteurs d’activités depuis la fin de la dernière grande guerre , il y a 85 ans.

En cette année 2020, entre la pandémie et la menace terroriste sur le sol de France, nous ne pouvons pas dire que les choses vont bien. Pourtant à l’ADAC nous sommes d’éternels battants et optimistes. Au sein de notre organisation, Chrétiens, Juifs, Musulmans, athées se côtoient dans la plus grande fraternité et travaillent ensemble avec un objectif commun dans lequel l’humain est au centre de toutes nos préoccupations. De surcroit ILS ont confié la Présidence de l’organisation à un Bouddhiste adepte d’une école japonaise… Plus éclectique et consensuel, c’est difficile…

L’ADAC a subi de plein fouet, comme beaucoup d’associations et d’entreprises, les conséquences de la COVID 19. Je ne blâmerai personne sur telles ou telles mesures qu’il fallait ou qu’il faudrait prendre…

Tous nos responsables ont le nez dans la sciure et  font ce qu’ils peuvent en face d’un virus dont on ne sait pas grand-chose et qui peut nous réserver encore quelques mauvaises surprises.

Bien entendu, il y a ceux qui savent et qui feraient autrement… laissons les bavards bavarder et agissons le moins mal possible. Nos dirigeants politiques ne sont pas parfaits et font des erreurs… mais que ferions-nous à leur place avec une population un tantinet schizophrène, inquiète et victime d’une administration psychorigide, qui complique tout à dessein. Il y a deux mondes différents ; la société civile, l’entreprise, le privé et la «planète zombie», l’administration… deux mondes irréconciliables de par leur nature.

 

Nous avons l’habitude des difficultés et notre organisation a suffisamment de souplesse et de pragmatisme pour rebondir et même profiter de cette pandémie inédite pour se remettre en question, progresser et continuer à poursuivre nos objectifs d’étroite coopération et de construction d’un avenir commun avec le Continent africain.  L’Afrique est beaucoup moins impactée par la pandémie que les pays européens… C’est une chance pour nous et nos entreprises françaises.

 

Nous avions fait l’AGO 2018-2019 dans les locaux de la FFB qui nous a hébergés pendant plus d’un an comme bon nombre d’organisations liées à la cpme nationale dont le siège était en travaux. Je tiens encore à remercier la FFB pour son accueil et particulièrement Daniel Nicolardot qui a été le lien permanent entre la FFB et l’ADAC.

Malheureusement en fin d’année dernière, pour des raisons qui m’ont échappé et sans doute parce que je me suis fait mal comprendre dans notre démarche concernant le continent africain et les objectifs de l’ADAC, Daniel Nicolardot a démissionné de l’ADAC  et la FFB n’a pas renouvelé son adhésion. Je ne puis que le regretter et la porte de notre organisation  restera toujours ouverte à cet excellent partenaire. En Afrique il y a de la place pour monter des partenariats dans les TP et le BTP. Faut-il laisser en pays francophone, les sociétés chinoises, turques ou autres occuper de façon impérialiste le secteur du BTP, des TP, de la santé, de la communication, de l’agriculture, etc ?..

Pour le dernier trimestre 2019, nous étions focalisés sur un évènement majeur en RDC et sur des « opérations diverses » en Côte d’Ivoire.

En ce qui concerne la Côte d’Ivoire l’approche des élections présidentielles en 2020, élections dont chacun sait qu’elles se sont très mal passées le mois dernier avec un Président sortant qui une fois de plus, a bafoué la constitution en se faisant faussement  réélire pour un troisième mandat alors qu’il n’avait pas le droit de se représenter. S’accrocher au pouvoir est une maladie chronique du Continent africain, mais soyons modestes, il n’y a pas que l’Afrique qui viole les constitutions et les institutions. Donc gardons-nous bien de donner des leçons avec nos « Démocraties » devenues des « médiocraties » d’une faiblesse préoccupante… Le tout est de savoir ce que l’on met derrière le mot démocratie … En observant le monde, je vous laisse juges…

Trêve de billevesées et de calembredaines (je voulais absolument placer ces deux mots que j’affectionne et qui, dans ce contexte, collent parfaitement), l’ADAC s’est retrouvée avec tous ces dossiers bloqués, ses partenaires et membres ne pouvant plus rien faire, sinon attendre que les évènements puissent permettre la reprise d’une activité normale. Elections, plus COVID, en CI la potion est très amère. Pourtant, nous continuons à travailler sur le terrain et les projets que nous soutenons finirons bien par se réaliser, nous en sommes persuadés parce que nous avons d’excellents représentants et partenaires sur secteur. C’est quand tout est difficile, qu’il faut être là, présent et combatif…C’est ce qui fait la différence… La CI est un pays d’avenir…

Pour la RDC, toujours en fin d’année 2019, nous avions un grand projet de Forum médical. Nos partenaires se sont désengagés et nous avons été obligés de faire de même. Ce que je déteste : nous avons abandonné en rase campagne un de nos partenaires, le Docteur Mboyo, pédiatre, faisant partie de la Diaspora congolaise de RDC. Nous avions pourtant de bonnes raisons de vouloir modifier la forme et les dates de ce Forum, mais le Docteur Mboyo, ne voulait, ni ne pouvait modifier ses propres engagements et  nos interlocuteurs congolais n’étaient pas prêts. Surtout, ces derniers jouaient un double jeu malsain qui a fortement déplu à toute notre équipe. Le Docteur Mboyo était entre le marteau et l’enclume, il s’était engagé envers des médecins français et a été obligé de faire, avec les moyens du bord, un Forum médical sur le cancer de l’enfant, lequel, s’il a eu le mérite d’exister n’avait rien à voir avec ce que nous étions en train de préparer. Je sais que, pour lui, cela a été difficile, mais il était impossible pour nous d’embarquer nos partenaires dans une aventure financière qui aurait mal tourné. Déjà l’investissement en temps et en numéraire fut fortement négatif, l’organisation côté congolais étant aléatoire, il fallait stopper là… Je le regrette profondément, mais il n’y avait pas moyen de faire autrement.

Là encore la COVID a bloqué toute tentative de recréer un autre évènement et je puis annoncer sans trop m’avancer qu’un Forum bien plus important se tiendra à Kinshasa au deuxième semestre 2021. Il englobera les thèmes de l’économie, des infrastructures,  du développement, de l’environnement, de l’énergie, de la préservation des ressources, de la santé, de l’éducation. Ce Forum se fera sous la Présidence de Mr le Président de la République de RDC. Il sera à la fois en « présentiel » à Kinshasa, et en visioconférence dans plusieurs pays d’Afrique et du monde francophone.

Malgré la Pandémie, nous avons continué à entretenir des liens étroits avec tous nos partenaires au Mali , en Guinée, au Sénégal, au Togo, au Bénin , au Burkina Faso et bien entendu en CI et puis en Afrique centrale, avec le Tchad, la RCA, le Gabon, la RC et la RDC. Nous avançons lentement sur les pays en question. Le tout est d’avoir non seulement les bons interlocuteurs, mais aussi les bons projets qui permettront un réel développement local pérenne et de réels partenariats avec le continent Européen et en particulier la France.

A ce titre, si j’excepte les quelques partenaires importants que nous avons, comme la cpme, EAF, Classe export, Croissance peace et quelques autres,  nous ne pouvons pas dire que les Autorités et les institutionnels français nous aident. Ils nous ignorent totalement et je dirai même que lorsque d’aucuns peuvent nous compliquer la vie, ils n’hésitent pas une seconde. Nous avons à faire à des administrations obèses, bavardes, monomaniaques et inefficaces. Leur credo reste l’entre soi et le moins d’engagements possibles pouvant leur apporter une quelconque difficulté ou contrariété. Ces administrations ont plusieurs spécialités : rendre compliqué ce qui pourrait être simple, produire des normes qui paralysent l’économie et les énergies et mettre en place des comités « Théodule » qui ne servent à rien, sauf à créer des emplois inutiles et couteux. 

Les Politiques on depuis longtemps baissé les bras devant cette hydre administrative et les Maires de Palais sont devenus les Maîtres du Palais. Bien sur je ne parlerai pas de la consanguinité entre certains politiques et la haute administration…Ils sortent du même moule…

En résumé n’attendons rien d’eux et traçons notre chemin avec ceux qui ont la même vision et les mêmes objectifs de la coopération entre la France, l’Europe et l’Afrique. S’ils veulent nous aider (enfin) qu’ils se fassent connaître … nous serons ravis de collaborer avec eux…

En République du Congo, malgré la crise économique nous continuons d’avancer : Valery Adjahi, un des Vices- Présidents de l’ADAC, malgré de nombreuses difficultés de tous ordres rencontrées sur le terrain,  continue de développer son projet minier concernant la « cassitérite » et le « coltan ». Crépin Bothi, le nouveau Secrétaire Général de l’ADAC vient de créer sa première unité de transformation d’arachide et une coopérative pour la culture de l’arachide. Le tout a été financé en interne par les porteurs de projet et des partenaires. ( à eux deux, ils ont créé environ 300 emplois en un an).

Le projet d’extension de la ferme d’élevage de porcs de Clenne Mouangou notre secrétaire générale adjointe est à ma connaissance à l’arrêt pour le moment.

Il y a deux autres projets agricoles en gestation : deux fois 100 ha de cacao de forêt. 100 ha dans le Nord et 100 ha dans le sud. Nous travaillons sur les dossiers et cherchons des partenaires. Tous ces projets agricoles déboucheront à terme sur des projets agroalimentaires et de transformation, nous voulons mettre en place toute la chaine de valeurs : du producteur au consommateur.

Il y a aussi le travail remarquable et trop solitaire de Michel Le Coq, « Ingénieur Génie Civil » à la retraite, qui enchaine les chantiers de construction et qui a un carnet de potentielles commandes impressionnant. Là encore nous cherchons un partenaire. Le montage est prêt pour faire une société de BTP à Pointe Noire. J’ai donné à la cpme Pays de Loire un mémo sur ce dossier, j’espère que notre trésorier adjoint Alain Bessaudou qui est également le Président de Appui export ( cpme PDL) nous trouvera rapidement le partenaire qu’il faut.

Enfin, toujours en République du Congo, Ange Laurent Coddy le responsable du secteur Handicap fait un travail remarquable avec son association partenaire DIMPA. Je suis là aussi obligé de montrer ma mauvaise humeur au sujet de l’aide inexistante des organisations françaises qui traitent du handicap. Tout ce que nous avons et que nous construisons, quand je dis nous, je devrais dire Ange Laurent, c’est grâce à du matériel donné par des particuliers ou parfois des pharmacies, des médecins, des municipalités. Les constructions qui se font pour faire des centres d’apprentissage pour handicapés, des écoles, c’est avec le sacrifice de chacun d’entre nous, les modestes dons que nous arrivons à récolter à droite et à gauche. Nous faisons ce travail avec des bouts de ficelles et toutes les bonnes volontés qui nous entourent.

Alors de grâce, que les organisations qui vivent de subventions, d’argent publique, de collecte de fonds à grand coup de campagnes publicitaires et de marketing téléphonique et  qui font de la France un des pays européens les plus mal placé en matière d’inclusion économique et de traitement du handicap,  aient la pudeur de se taire et de se réformer pour devenir efficace. Là encore assez de bavardages et de l’action concrète et positive.

Déjà au Congo, les personnes pauvres n’ont pas une vie facile, mais une personne pauvre et handicapé est condamnée à l’exclusion totale et à une fin rapide.

Nous avons passé un accord avec l’Association nationale des aveugles du Congo. Voici des mois que je cherche un don d’une vingtaine d’ordinateurs avec des claviers spéciaux pour aveugle ou mal voyant. Rien, absolument aucune réponse… Venez, après, nous parler de handicap et d’humanisme…

L’Association Dimpa a une école à terminer, un centre d’apprentissage de menuiserie à construire, un centre de maraichage à développer, en dehors des matériels, il nous faut environ 150 000€ en numéraire. Si nous arrivons à collecter cette somme tous les donateurs verront en quelques mois le résultat concret de ce qui sera fait. 1 € sert pour le handicap dans sa globalité. Pour nous-mêmes nous fonctionnons autrement. Ce qui est pour le handicap, est pour le handicap, pas pour payer des administratifs inutiles, ou en faire un business.

Le Cameroun : nous suivons plusieurs projets. Le projet phare est la Ville nouvelle de Dibamba Beach, projet porté par Paul Njanjo. Dix ans de luttes pour arriver à faire aboutir ce projet…Au dernier moment retard de deux ans à cause d’une « embrouille politique » pour essayer de spolier Paul et ses associés et s’approprier les 1000 ha réservés et achetés pour construire la ville nouvelle. Je crois savoir que Paul Njanjo est enfin arrivé au bout de ce cauchemar et que Dibamba beach sortira bientôt de terre, quartier par quartier.

La RDC : j’ai eu une longue absence en RDC et c’est seulement en 2018 que j’ai décidé de recommencé à travailler sur des projets en République Démocratique du Congo. Je puis certifier aujourd’hui que nous allons faire un « retour en force » en RDC et que beaucoup de travail nous attend. Je n’en dirai pas plus aujourd’hui, je ferai d’ici le mois de janvier 2021, une note spéciale sur la RDC et la collaboration entre les entreprises congolaises et françaises. Attention ! cela sera « du lourd »…

Le 7 novembre 2020 a eu lieu la troisième édition du Forum des diasporas africaines, premier Forum de ce type : 1010% DIGITAL.
2153 e-partipants – 53 orateurs – 55 e-exposants.
Pays représentés : Algérie, Maroc, Tunisie – Sénégal, Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Togo, Benin,
Cameroun, Gabon, RC, RDC.
Quelques têtes d’affiche , Mr  Jean Pierre Raffarin, Mr Matthias FEKL, Mr Ali Kooli ( Tunisie), Mr JL Guigou, Mr Patrice Anato, etc…
4 conférences plénières –  3 ateliers – 7 talks
4241 échanges entre participants, réalisés en live le samedi 7 novembre
2166 contacts établis
642 rendez-vous BtoB
2783 conversations
68 appels vidéo.
23 offres d’emploi

L’ADAC fait partie du comité de pilotage de l’association pour le Forum des Diasporas africaines

Si je conspue certaines catégories d’individus dont l’arrogance est inversement proportionnelle à leur utilité et à leur efficacité,  je dois remercier tous ceux qui sont nos partenaires au quotidien, je pense à la société Classe export dirigée par Marc Hoffmeister qui, depuis 2013, travaille à produire des évènements en rapport avec le développement de l’Afrique, mais aussi à Croissance Peace qui poursuit les mêmes objectifs que nous et la cpme avec son Président François Asselin qui m’a fait confiance en me nommant au poste de responsable nationale du secteur Afrique francophone, à la cpme 72 Pays de Loire, à certains membres de la cpme93, à EAF (cpme) » l’Entrepreneuriat au féminin » et à bien d’autres partenaires privés qui nous aident ponctuellement à mener à bien notre tâche qui je le rappelle est de tisser des liens économiques et sociaux entre l’Afrique et l’Europe (la France en particulier), afin d’aider au développement économique équitable et durable de proximité en favorisant la structuration des compétences et des énergies locales. Tout ce travail est bénévole et chacun de nous le fait  en plus de sa vie professionnelle ou de sa retraite…

Par ailleurs, que l’on ne croie pas, malgré certains propos virulents, que je suis un « anti-fonctionnaire  pathologique ». Bien loin de là, je ne fais que constater les dégâts quotidiens dans notre société et dans notre économie, d’un système centralisé et rigide qui ne sert plus la collectivité, mais n’a d’autre objectif premier que de se préserver. L’administration est une forteresse fermée de toute part avec un donjon énorme qui enferme une clique de « cheffaillons» bornés et irresponsables et des hauts fonctionnaires hors sol.

Et puis il y a les fantassins de l’administration, ceux qui sont à la peine et qui subissent également l’incompétence de leurs chefs. Ceux là ont tout mon respect…

 Tant que l’administration ne sera pas soumise aux lois de tous avec la possibilité de sanctions pour manquement professionnel et possibilité de licenciement, rien ne bougera.

En conclusion et malgré toutes ces digressions qui nous ont éloignés parfois du sujet premier,  c’est par un maillage économique de proximité que l’Afrique se développera vraiment, sans pour cela négliger les grands projets et les infrastructures générales. Tout se tient et tout doit fonctionner ensemble.

C’est aussi là qu’est la réelle solution à l’immigration vers l’Europe. Un Africain qui vit bien dans son pays, qui a toute sa dignité et la reconnaissance de ses frères n’a pas envie de venir grossir les hordes de « clandestins » vivant dans des conditions misérables et indignes. l’Europe est un mirage mortifère pour les jeunes africains.

C’est sur place et main dans la main qu’il faut travailler. Si l’Afrique est prospère l’Europe sera prospère.

Nos destins ont parfois été liés pour le pire, alors qu’ils le deviennent pour le meilleur.                            

 

Didier RENAUD

Président de l’ADAC
Responsable national du secteur Afrique francophone
De la commission internationale de la cpme.
Membre de l’exécutif de la cpme72 Pays de Loire
Membre de EAF (cpme)
Membre de l’exécutif de l’Association pour le Forum Des diasporas Africaines
Conseillers spécial pour la France du Général Major Benoit Faustin Munene (RDC)
Spécialiste en Aménagement du territoire.

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